Prédication du dimanche 19 mars (1Tm 6.17-21, Jean-Samuel Huck)
La solution au matérialisme, c’est de donner.
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« Recommande aux riches de ne pas être orgueilleux. Qu’ils ne mettent pas leur confiance dans une richesse qui ne dure pas, mais qu’ils la mettent en Dieu. C’est lui qui nous donne toutes choses généreusement pour que nous en profitions. Dis-leur de faire le bien, d’être riches en actions bonnes. Qu’ils donnent de bon cœur et partagent avec les autres. » 1 Tim 6.17-18
Quand on reçoit une lettre comme celle de Timothée de la part de quelqu’un qu’on aime et qu’on estime, il est tout à fait normal qu’on obéisse en tout point à ce qui est commandé.
Le mot « pourquoi » a fait des ravages dans l’Histoire de l’homme, notamment par rapport à sa relation avec Dieu.
Parce que ce petit mot signe son indépendance. Lorsque l’homme remet en question ce que Dieu lui a demandé, il remet en question l’existence même de Dieu. Les philosophes matérialistes l’ont fait, et en disant que tout est matière, ils ont mis l’argent à la place de Dieu parce qu’il donne à l’homme l’illusion du pouvoir en se mettant au-dessus de Dieu.
Or nous ne sommes que les gestionnaires de ce que Dieu nous donne. La solution au matérialisme, c’est donner, être généreux, non seulement avec notre argent, mais aussi en bonnes œuvres.
Notre Dieu nous demande d’être généreux. Par ce geste nous marquons notre dépendance à lui, et nous déclarons notre fidélité envers un Dieu qui nous aime et qui veut notre bonheur.