Prédication du dimanche 6 mars (Mc 2.1-12, Antoine Doriath).
Pardonner est aussi facile que de faire un miracle !
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« Père, pardonne-leur… » ; « Seigneur, ne les charge pas de ce péché.» Lc 23.34 ; Ac 7.59
Introduction
Est-il facile de pardonner ? Oui et non, selon la nature et la gravité de l’offense subie. Est-il facile de demander pardon ? Généralement non, car c’est humiliant.
- Quelques exemples authentiques de pardon difficiles à accorder.
- Jésus affirme qu’il est « facile » de dire « je pardonne ». Mais ce pardon efface-t-il les torts ? Restaure-t-il le coupable ? Rétablit-il la communion ?
- Le pardon divin et ses bienfaits
Où se manifestent cette puissance et cet amour ?
L’incarnation annonce la délivrance des péchés (Luc 2.11). Un prodige (Mt 21.42). L’impossible naissance. L’impossible réduction de Dieu.
La crucifixion : l’impossible mort du Juste
La résurrection : l’impossible sortie du tombeau
L’ascension : l’impossible triomphe sur les lois de la gravitation universelle.
Il fallait DIEU pour pardonner.
- Le pardon humain et ses bienfaits
Il est plus facile. La démarche coûte, la sincérité coûte, la réparation coûte. C’est pourquoi il a de la valeur
– pour ma relation avec moi-même
– pour ma relation avec autrui
– pour ma relation avec Dieu
Conclusion
- Une chose « paradoxale »
2. Le pardon = « par don » et « pour don » (for-give)